Cher Piero,
Merci pour vos belles paroles : les années passent, la foi en un monde meilleur reste minée par une société lâche.
Maintenir, comme tu le dis, un lien avec les amis et les camarades est l’une des rares satisfactions qu’il nous reste, en souhaitant à nos enfants des temps meilleurs.
Fraternellement
Sandro
Canestrini, Sandro
en: <strong>Léo Matarasso,
Seminario del 6 dicembre 2008, Cedetim, Parigi
Milano, maggio 2009</strong>