Cher Piero,
Je suis désolée de ne pas avoir répondu plus tôt à ton invitation.
Je regrette beaucoup de ne pas avoir pu être avec vous à Paris, j’aurais revu tout le monde avec beaucoup de joie.
Depuis que maman ne va pas bien, je ne quitte plus la maison, malgré l’aide-soignante et mon frère ne se sent en sécurité que si je suis présente.
J’ai perdu un peu de liberté, mais je ne m’encombre pas trop.
Je profite de l’occasion pour vous embrasser très fort.
Betty
Valori, Betty
en: <strong>Léo Matarasso,
Seminario del 6 dicembre 2008, Cedetim, Parigi
Milano, maggio 2009</strong>